Précédemment
« ‘Lors, mon beau talon, t’as pris ton piéton ? Tu m’contes la fin d’ton historien ou tu veux qu’on r’commence ? »
C'est sur ces mots que s'acheva la nuit de plaisir du vieux Errold. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas forniqué comme ça. La belle était doué dans ce qu'elle faisait. Avant de commencer, il ne savait pas encore ce qu'il comptait faire d'elle après, mourant d'envie de la tuer malgré tout pour ce qu'elle lui avait fait avant. Mais la donzelle avait gagné de vivre après ça.
Se penchant sur le coté du lit, il renifla un bon coup et cracha par terre comme il savait si bien le faire. Le crachat s'étala sur le sol, un mélange entre sang et morve. Puis se retournant vers la belle, il lui pétri la poitrine sans aucun douceur avant d'ajouter.
« 'Près c'que tu m'a fais vivre *srrnf*, j'suis pas sur d'vouloir *ptiuu* t'raconter mes histoires. J'te laisse déjà repartir en vie. C'est d'ja ça. On va dire qu'cé paske t'es sacrément bonne. Allez zou ! Dégage ! Manqu'rais plus qu'j'te paye la nuit. »
Il reprenait encore sa respiration du à son effort précédent. Son œil lubrique avait disparu. Une fois rassasié, son air ressemblait plus à celui du vieux qui ne respecte plus rien. Il fixait la jeune donzelle en quête de ses gestes.
« ‘Lors, mon beau talon, t’as pris ton piéton ? Tu m’contes la fin d’ton historien ou tu veux qu’on r’commence ? »
C'est sur ces mots que s'acheva la nuit de plaisir du vieux Errold. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas forniqué comme ça. La belle était doué dans ce qu'elle faisait. Avant de commencer, il ne savait pas encore ce qu'il comptait faire d'elle après, mourant d'envie de la tuer malgré tout pour ce qu'elle lui avait fait avant. Mais la donzelle avait gagné de vivre après ça.
Se penchant sur le coté du lit, il renifla un bon coup et cracha par terre comme il savait si bien le faire. Le crachat s'étala sur le sol, un mélange entre sang et morve. Puis se retournant vers la belle, il lui pétri la poitrine sans aucun douceur avant d'ajouter.
« 'Près c'que tu m'a fais vivre *srrnf*, j'suis pas sur d'vouloir *ptiuu* t'raconter mes histoires. J'te laisse déjà repartir en vie. C'est d'ja ça. On va dire qu'cé paske t'es sacrément bonne. Allez zou ! Dégage ! Manqu'rais plus qu'j'te paye la nuit. »
Il reprenait encore sa respiration du à son effort précédent. Son œil lubrique avait disparu. Une fois rassasié, son air ressemblait plus à celui du vieux qui ne respecte plus rien. Il fixait la jeune donzelle en quête de ses gestes.